
Salwa Boujour et Sarra El Massaoudi seront les médiatrices des rencontres, garantes de l’aspect safe de celles-ci. Les ateliers pratiques, quant à eux, concernent des sujets comme la communication non violente, la négociation salariale ou encore le cyber harcèlement et le discours haineux.
Ces rendez-vous qui prennent en compte la dimension intersectionnelle des journalistes. Des sujets comme le racisme, le validisme, la lesbophobie etc. auront toute leur place lors des activités. Les participantes s’engagent à participer à plusieurs rencontres. L’entièreté du trajet aura lieu en comité restreint.


L’importance de partager ton expérience?
Pourquoi participer
à notre safe space?
- Créer des rencontre entre journalistes
- Partager et d’échanger autour des obstacles que les femmes journalistes rencontrent dans leur profession
- Permettre un renforcement mutuel à travers des récits et des réflexions autour des besoins en tant que femmes journalistes.
- Une initiative en faveur de la lutte contre les violences faites aux femmes dans les médias.

L’ intersectionnalité des journalistes est prise en compte. Une attention particulière sera portée à l’anonymat des journalistes et de leurs récits ! Les modératrices sont garantes de l’aspect safe et vous pouvez vous référez à elle à tout moment en privé !
Nous aspirons à porter la parole de nos membres et à constituer un pont entre travailleur.euse.s et médias afin de favoriser la présence de personnes issues de groupes minorisé.s à tous les niveaux du secteur. L’association aspire à être un lien entre les médias et le public mais également un interlocuteur politique sur les questions liées à la nécessité de représentation d’une société plurielle comme gage de démocratie.


- Un trajet de 10 sessions à hauteur de 1 à 2 rencontres mensuelles, réparties lors de différents weekends à partir du mois d’ avril jusqu’au mois de septembre.
- Les sessions se constituent de moment d’échange et de workshops.
- Workshops: CNV, négociation salariale, cyberharcèlement et discours haineux, etc. Vous pourrez choisir les sujets parce que nous adaptons les safe spaces aux besoins du groupe.
Info pratiques
Nombre de sessions: 10 avec une fréquence d’une à deux sessions par mois entre les mois d’avril et septembre
Nombre de participantes: 15 maximum


Un safe space pour lutter contre les violences envers les femmes journalistes minorisées
L’association M&DIA , qui s’engage pour un monde médiatique belge plus inclusif, a lancé l’année dernière un safe space pour femmes journalistes minorisées, soutenu par la Fédération Wallonie Bruxelles.
Racisme, plafond de verre et plancher collant, CDD plutôt que CDI, rémunérations plus faibles voir inexistantes, etc. : les femmes journalistes sont confrontées à de nombreux freins à l’entrée et à l’épanouissement dans la profession.
Coordonné par Salwa Boujour, journaliste et fondatrice de M&DIA, et Sarra El Massaoudi, journaliste et project manager de M&DIA, le projet-pilote s’articule autour de 3 axes distincts et complémentaires :
- La création d’un espace de parole bienveillant permettant aux participantes de partager leurs expériences et ressentis.
- La mise à disposition d’outils favorisant l’entrée et l’épanouissement des journalistes minorisées dans le monde médiatique.
- Le dégagement des mécanismes qui freinent leur trajectoire professionnelle.
- Pour participer à la série de rencontres, tu peux envoyer ta candidature en répondant aux questions reprises dans le formulaire ci-dessous jusqu’au 25 mars 23h00.
- En proposant ta candidature, tu t’engages à participer à la série entière de rencontres (une à deux sessions par mois, 10 sessions en tout).
- Les places étant limitées, la sélection se fera dans l’optique de créer une dynamique de groupe tout en laissant suffisamment de place aux personnes se situant à l’intersection de plusieurs systèmes d’oppression.
- Tu recevras un e-mail le 1er avril t’informant des résultats de la sélection.
- Remplir ce formulaire constitue une barrière pour envoyer ta candidature? N’hésite pas à nous contacter.